Opération Cisaille : La SQ saisi plus de 4400 plants de cannabis
Les policiers de la Sûreté du Québec ont procédé à la saisi de 4400 plants de cannabis dans plusieurs secteurs des régions de Lanaudière et des Laurentides au cours de la journée du 16 septembre dans le cadre de l’opération Cisaille 2.0.
C’est plus de 4 400 plants de cannabis qui ont été saisis sur le territoire des différentes MRC des Laurentides et Lanaudière touchées par cette opération. Par voie de communiqué, la SQ a déclaré qu’à la suite de ces perquisitions, plusieurs enquêtes allaient se poursuivre et des arrestations pourraient avoir lieu dans les prochaines semaines. Notons que ces enquêtes ont progressé notamment, grâce à des informations reçues du public
Ces perquisitions ont été réalisées par le Service des enquêtes régionales de la Sûreté du Québec, en collaboration des policiers de postes de la MRC Rivière-du-Nord, la MRC Argenteuil, la MRC des Pays-d’en-Haut, la MRC Montcalm, la MRC des Laurentides, la MRC de Matawinie et la MRC de d’Autray.
La Sûreté du Québec tiens à souligner la collaboration du Service de police de la Ville de Saint-Jérôme, le service de police de la Ville de l’Assomption/Saint-Sulpice, de la Gendarmerie Royale du Canada et les Forces Armées Canadiennes.
En tout temps, il est possible d’effectuer un signalement en communiquant avec la Centrale de l’information criminelle au 1 800 659-4264 ou avec l’organisme Échec au crime au 1 888 711-1800. Il est important de signaler toute production de cannabis, qu’elle soit extérieure ou intérieure.
Rappelons que la Sûreté du Québec a procédé à une révision complète du programme Cisaille en 2014 dans le but de freiner l’expansion de la production et du trafic de cannabis au Québec. En assurant un déploiement du programme toute l’année et en intensifiant ses efforts vers les productions intérieures, sans toutefois s’y limiter, le nouveau programme Cisaille 2.0 permet de mieux répondre aux réalités actuelles et propose une façon globale et efficace de lutter contre le phénomène de la production et du trafic de cannabis au Québec.
Pour plus d’information sur le programme, nous vous invitons à consulter la section Cisaille 2.0 du site internet de la Sûreté du Québec.
9 commentaires
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Le côté médicinal de cette plante reste à être démontré, établi par de nombreuses équipes de chercheurs. . La saisie et la destruction du cannabis à but récréatif et de sa résine s'expliquent pour une simple raison : chez le consommateur, il produit rapidement une perte de la vivacité intellectuelle, un ralentissement des réflexes, et cela est dangereux pour lui et ses congénères ; au volant, dans la rue, au travail... . Le reste de la société ne peut accepter ces mises en danger.
« ... le cannabis modifie la structure des cellules du sperme en les déformant. Même de petites quantités de cannabis peuvent causer une stérilité temporaire chez des hommes. La consommation de cannabis peut bouleverser le cycle menstruel des femmes... » . Bref, le cannabis va sembler produire des miracles au début ; mais les drogues endommagent rapidement et davantage le corps qu'elles ne l'aident, et peuvent modifier nos comportements de manière imprévisible . Il faut en consommer peu
Mais il faut informer la jeunesse, à l’aide de campagnes nationales intenses faites par des pompiers, des médecins et surtout d’anciens drogués qui ont réussi à s’en sortir : leur expérience douloureuse sous l’emprise des drogues mérite d’être connue, et les jeunes retiendront les effets nuisibles des drogues.
Mais pourquoi des gens en viennent-ils à se droguer ? (Les enfants n'y songent point, n'est-ce pas ?)
Les drogues, l'alcool, les médicaments sont en fait des substituts de l'aide : lorsque des personnes ont considéré qu'elles ne pouvaient plus aider les autres, ni être aidées, elles se tournent vers les médicaments et les drogues …pour recevoir ou même donner de l‘aide. (telle est la découverte de l'humaniste et chercheur Ron Hubbard). Elles recherchent l'aide d'une chose, parfois en en abusant ( médicaments, drogues), elles s'accrocheront à ces « substances-aide » qui, pris à doses importantes, vont vite avoir des effets très nuisibles sur elles.
Ainsi en est-il pour des jeunes qui se mettent à se droguer… L’échec scolaire, dans ce cas particulier, amène certains élèves à penser qu’ils ne s’en sortiront jamais dans le système actuel : ils ne pourront pas aider ( ils pensent ainsi : pas de diplôme = pas de travail = pas d’argent = pas d’avenir), et bien sûr ils pensent que personne ne les aide vraiment ! Mais il leur faut de l’aide, et vont trouver … le cannabis en substitut de l’aide humaine impossible ( c’est du moins la conclusion - erronée - à laquelle ils en sont arrivés).
J'aimerais que l'on publie le montant total de ses élucubrations policières.