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Appels bizarres, inutiles ou farfelus, les policiers de la Sûreté du Québec en voient de toutes les couleurs.

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2 juillet 2015
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Mathieu Ferland
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Par Mathieu Ferland, Journaliste

Les policiers de la Sûreté du Québec ne font pas toujours face à des situations critiques. Au cours des derniers mois, le Journal de Joliette a recueilli plusieurs témoignages d’anciens et d’actuels policiers sur ces appels un peu loufoques auxquels ils ont déjà été confrontés.

Voici une liste de quelques uns des appels logés auprès des policiers qui ont retenu leurs attentions.
* Une dame porte plainte parce qu’un homme est entrain de nourrir les canards et que ce geste est impropre selon elle.
* Un homme ayant perdu ses lunettes a contacté la centrale 9-1-1 afin de pouvoir téléphoner à sa sœur.
* Plainte auprès des policiers faite par une dame à la suite d’une tentative de vol de ses lutins de jardin.
* Un citoyen porte plainte parce que son voisin s’est fait installer un routeur internet.
* Un homme dans la soixantaine est attaqué par ses chats, les policiers sont demandés sur place.
* Une dame contacte la centrale d’urgence parce qu’elle entend les ressorts du lit de son voisin d’en haut, elle réclame les policiers immédiatement.
* Une dame qui appelle les policiers parce qu’un homme vient littéralement de jaillir de sa toilette.

Les policiers interrogés affirment que ce genre d’appel se produit fréquemment, à raison de quelques fois par semaine. De son côté, le sergent Gino Paré, porte-parole de la SQ, n’a pas voulu commenter la situation, il explique toutefois que les policiers doivent répondre à ces appels, peu importe la nature. « Les patrouilleurs doivent souvent faire preuve de diplomatie lorsqu’ils interviennent dans de tels cas », raconte le policier.

D’autres patrouilleurs interrogés soulignent plutôt l’importance d’un appel logé auprès de la centrale 9-1-1. Ces derniers affirment que les gens devraient prendre véritablement conscience de la portée de leur geste lorsqu’ils contactent les services d’urgence comme les policiers ou les pompiers.   

 

commentairesCommentaires

1

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  • D
    deno
    temps Il y a 10 ans
    et pour la fin de la derni^re phrase il manque les paramédics aussi

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