Début de l’enquête sur remise en liberté de Georges Provost
L’enquête sur remise en liberté du présumé pédophile, Georges Provost, s’est amorcée le 28 mai, au palais de justice de Joliette.
L‘accusé de 43 ans, de Saint-Michel-des-Saints, fait face à un total de 16 chefs soit six d’agression sexuelle, deux de contacts sexuels, bestialité, d’avoir forcé une victime à faire un acte de bestialité, de séquestration, de voie de fait, d’agression armée, de voie de fait causant des lésions, de menace de mort et d’avoir accédé à de la pornographie juvénile.
Les faits reprochés à Georges Provost se seraient déroulés entre la fin juillet 1999 jusqu’au 19 mars dernier à Saint-Michel-des-Saints et Saint-Zénon.
Une ordonne de non-publication sur tout ce qui pourrait permettre d’identifier de quelque façon que ce soit les présumées victimes a été émise à la demande de la Couronne, représentée par Me Stéphanie Arel.
Lors de l’audience du 28 mai, un seul témoin a été entendu soit l’enquêteur au dossier, de la Sûreté du Québec, de la MRC Matawinie. L’avocat de M. Provost, Me Johnny Bianchi, le contre-interrogera en plus de présenter sa défense, à la prochaine date convenue entre les deux parties, le 15 juin prochain.
Lors de sa première comparution, le 31 mars dernier, il y avait trois présumées victimes. Deux autres se sont ajoutées depuis.
Georges Provost, qui est détenu préventivement depuis sa mise en accusation, a écouté sans broncher le témoignage du policier, le 28 mai, dans le box des accusés.
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