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3 cancers féminins dont on guérit bien

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2 novembre 2018
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Par Texte commandité

 

Le dépistage précoce est la clé de la guérison : un cancer détecté au début de sa formation aura une issue bien plus favorable dans la mesure où le traitement sera plus efficace. Les femmes à partir de 50 ans devraient bien se surveiller. Quels sont les outils de la prévention ?

Le cancer du sein : 9 cas de guérison sur 10

Le cancer du sein est un cancer qui se soigne bien lorsqu’il est pris à temps. Une mammographie tous les 2 ans à partir de 50 ans est un outil de surveillance indispensable. En cas d’hérédité, la mammographie sera même annuelle.

Les premiers signes d’alerte sont une grosseur dans le sein, des ganglions sous l’aisselle, un écoulement de lait ou de sang, un mamelon rétracté, le galbe du sein déformé, une peau rougie… Dans tous les cas, il faut consulter son médecin traitant ou son gynécologue.

Les guérisons sont facilitées si la tumeur est encore inférieure à 1 cm et s’il n’y a pas de ganglions, d’où l’intérêt du dépistage précoce. L’âge moyen de la femme atteinte de ce type de cancer est 61 ans. Mais la palpation des seins doit être effectuée régulièrement à partir de 25 ans par un médecin.

Le cancer de l’utérus : les jeunes femmes plus touchées

Le cancer de l’utérus est Le cancer de la jeune femme. Il est dû à une tumeur maligne qui se forme du fait d’une exposition prolongée au papillomavirus (HPV) dans 85 % des cas.

La prévention consiste en un frottis cervico-vaginal tous les 3 ans à partir de 25 ans. En cas de frottis suspect, il faudra détecter des cellules cancéreuses grâce à une colposcopie à Montréal. Cet examen complètement indolore est un outil de prévention extrêmement efficace.

Les femmes ménopausées doivent particulièrement s’inquiéter en cas d’apparition de saignements.

Le cancer de l’utérus est à évolution très lente. Les pronostics de survie sont donc très bons. On estime même que la prévention a d’ores et déjà diminué de moitié le nombre de décès. À terme, on devrait atteindre 90 % de cancers en moins grâce à la surveillance des patientes !

Le cancer de l’ovaire : un diagnostic souvent tardif

Le cancer de l’ovaire est plus épineux : on le détecte souvent à un stade avancé. Les causes sont souvent génétiques et l’âge moyen du diagnostic est de 65 ans. La seule prévention est l’échographie pour une prise en charge précoce, il faut donc demander cet examen. La chirurgie est le meilleur traitement (ablation des ovaires et de l’utérus selon les cas) en association avec de la chimiothérapie selon le stade.

 

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