Nous joindre
X
Rechercher
Publicité

Nos conseils pour minimiser les douleurs suite à une extraction de dents de sagesse

durée 09h36
2 avril 2017
ici

commentaires

ici

likes

imprimante

article commandité

Les dents de sagesse poussent le plus souvent au début de l’âge adulte. Une dent de sagesse, c’est la troisième molaire située au fond, à l’arrière de toutes les autres dents. Selon les cas, il arrive que l’on soit obligé d’extraire cette dent. Cette action courante n’est pourtant pas anodine. Il arrive parfois que la douleur qui s’en suit soit totalement insupportable. Mais cela dépend vraiment des circonstances. Quoi qu’il en soit, ci-après quelques conseils utiles pour minimiser vos douleurs après une extraction de dents de sagesse.

Déjà, à quel moment enlever une dent de sagesse ?

Il faut savoir qu’il peut y avoir différentes raisons pour amener votre dentiste à proposer une intervention chirurgicale consistant à extraire votre dent de sagesse. Selon les circonstances, l'extraction des dents de sagesse peut être souhaitable dans plusieurs cas notamment à cause d’un manque d’espace pour leur permettre de pousser vraiment droit, d’une enflure, d’un rougissement des tissus ou encore des douleurs qu’elles peuvent provoquer, et enfin d’une éventuelle existence de carie. Il revient au dentiste de diagnostiquer le bon moment pour effectuer cette action. Toutefois, il est avancé qu’entre 18 et 20 ans reste le meilleur âge pour éviter les risques de la chirurgie.

Comment minimiser les douleurs suite à une telle intervention ?

Selon le cas qu’il s’agisse d’une dent de sagesse du haut ou du bas, les douleurs varient vraiment d’une personne à une autre. Mais en règle générale, il est conseillé de ne pas fumer, de laisser le caillot se transformer naturellement en os et éventuellement en une nouvelle gencive, et de rester au repos 2 à 3 jours après une extraction de dent de sagesse. Il est aussi recommandé de bien s’alimenter pour éviter de perturber le caillot. Après le passage de l’anesthésie obligatoire pendant l’intervention, les joues peuvent gonfler, et conduire à quelques petits saignements. Toutefois, la douleur qui s’en suit s’estompe facilement au bout de quelques jours. Pour réduire cette douleur, il peut être bénéfique de prendre des antalgiques et de continuer à faire des bains de bouche pour désinfecter correctement les dents et les gencives.

Les autres remèdes rapides

Dans les cas les plus persistants, les douleurs peuvent être aussi minimisées par l’application de glace sur la joue afin de réduire l’œdème. Ou alors, il est aussi possible de prendre des anti-inflammatoires et des antalgiques. Toutefois, il sera toujours requis de prendre l’avis de votre chirurgien-dentiste.

 

RECOMMANDÉS POUR VOUS


Publié hier à 15h00

Comprendre la couleur de la glace et la règle «1-10-1» pour prévenir les noyades

Dans la foulée de la noyade d'un homme dans la quarantaine et d'un enfant survenue à Saint-Zénon, la Société de sauvetage du Québec rappelle certaines règles de sécurité à adopter lorsqu'on pratique des activités sur la glace. Ce fut un jour de Noël sombre pour les proches des deux victimes, dont le décès a été confirmé par la Sûreté du Québec ...

Publié le 25 décembre 2025

Le gouvernement suspend l'interdiction d'exporter des plastiques à usage unique

Le gouvernement fédéral suspend son projet d'interdiction de l'exportation de plastique à usage unique en raison des droits de douane et des problèmes liés à la chaîne d'approvisionnement qui «exercent une pression considérable sur l'économie nationale». Samedi, le gouvernement a lancé dans la Gazette du Canada une consultation de 70 jours sur la ...

Publié le 25 décembre 2025

Saison de la grippe: des réticences persistent face à la vaccination, dit un sondage

Alors que la saison de la grippe bat son plein, un sondage réalisé par la division de la firme Léger consacrée à la recherche dans le domaine de la santé démontre que 28 % des Canadiens sont réticents à se faire vacciner contre l’influenza. Trois principales sources d’inquiétude ont été identifiées par les 300 professionnels de la santé consultés ...