C’est avec une fierté non dissimulée que Danielle Bédard, chef du Parti des citoyens de Sainte-Julienne, a dévoilé la nouvelle image de sa formation, en compagnie de quelques membres de son équipe.

« À l’élection de 2009, nos ressources étaient très limitées. Mais cette fois, avec l’appui enthousiaste que nous recevons de la population, nous tenions à nous doter d’une image jeune et moderne correspondant à nos valeurs et à notre vision pour l’avenir de notre belle municipalité », explique la chef du Parti des citoyens de Sainte-Julienne.

Dans des teintes de bleu et de vert, symboles d’économie, d’environnement et d’espoir, le logo est conçu à partir de l’acronyme PCSJ, pour Parti des citoyens de Sainte-Julienne. Il est surmonté d’une flèche, qui illustre à la fois le dynamisme et le regard tourné vers l’avenir de la formation politique. « La flèche correspond aussi aux cibles que nous voulons atteindre, à nos objectifs pour Sainte-Julienne et sa population », précise Danielle Bédard.

Mais quand on y regarde de plus près, la flèche prend aussi la forme d’un personnage, bras et jambes tendus, dans un élan d’ouverture et d’enthousiasme. « Nous sommes le Parti des citoyens. Il convenait donc de retrouver une personne dans notre image, qui représente chacun de nos concitoyens », croit l’avocate. Certains voient aussi dans cette image une route, alors que l’équipe de Danielle Bédard s’apprête à mener Sainte-Julienne dans une nouvelle direction d’harmonie et de prospérité.

Enfin, soulignons que la flèche se compose de cercles de différentes tailles. « Le cercle, c’est à la fois des têtes, des gens, mais aussi un symbole d’unité, de discussion, de rapprochement. C’est précisément ce que nous incarnons au Parti des citoyens de Sainte-Julienne », ajoute avec satisfaction Danielle Bédard.

Quand on n’a rien à dire…

Par ailleurs, l’avocate ne peut s’empêcher de sourire en constatant que des rumeurs farfelues ont recommencé à circuler sur son compte, une situation qui ressemble étrangement à ce qui s’est produit en 2009.

« C’est de la vieille rengaine : on m’a fait le même coup en 2009. Quand certaines personnes n’ont rien à dire, elles inventent des histoires. Le fait qu’on m’accuse de ne pas être avocate est l’exemple parfait. Tout le monde peut vérifier que je suis membre du Barreau du Québec. Ça fait longtemps que j’ai à cœur de défendre la justice et les intérêts de mes concitoyens », confirme la chef du Parti des citoyens.

D’ailleurs, Danielle Bédard n’hésitera pas à rencontrer toute personne qui se questionne à son sujet. « La meilleure façon de connaître la vérité, c’est de me parler! Moi, la question que j’aimerais qu’on se pose, c’est la suivante : pourquoi certaines personnes lancent-elles des rumeurs aussi farfelues sur des points pourtant faciles à vérifier? » Selon l’avocate, cela témoigne d’un manque flagrant d’idées constructives.

« À ce que je sache, au Québec, on ne perd pas ça, une avocate ! », conclut-elle, amusée par cette stratégie digne d’une autre époque.