Arrestation de deux présumés producteurs de cannabis
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15h54
Le 22 février, les policiers de la Sûreté du Québec de la MRC de Joliette ont procédé à l’arrestation de deux personnes à Sainte-Mélanie en lien avec de la production de cannabis.
Les deux hommes, âgés respectivement de 70 et 30 ans, ont été libérés par promesse de comparaître. Ils devraient comparaître le 20 avril prochain où ils pourraient faire face à des accusations de production de stupéfiants, de possession de stupéfiants, de possession en vue d’en faire le trafic, et ce, à une date ultérieure. L’enquête se poursuit dans ce dossier.
En plus de ces arrestations, les policiers ont procédé à quatre perquisitions dans des résidences de Sainte-Mélanie. Au total, trois serres de production de cannabis ont été démantelées. Les policiers y ont saisi plus de 500 plants de cannabis, 8 kg de cannabis en vrac et une trentaine de comprimés de métamphétamine. Un véhicule fut aussi saisi en bien infractionnel.
Cette opération est le fruit d’une enquête initiée il y a quelques mois à la suite d’informations reçues du public. Rappelons que toute information sur des actes criminels ou évènements suspects peut être communiquée à la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1 800 659-4264.
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1 commentaires
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Le cannabis dit récréatif, quant à lui, semble souvent être fortement consommé après que les personnes ont connu un mal être qui s’est prolongé, qui les faisait souffrir sans arrêt.… Les condamner n’arrange rien, et une dépénalisation ne change pas la donne : comment s’occuper de ce mal être ? Comment le faire disparaitre naturellement ?
Certainement pas avec d’autres drogues, alcool ou médicaments psychotropes, qui sont très dangereux si pris non modérément ! (Notez que ces produits se trouvent légalisés par le commerce, mais qu’ils peuvent faire des ravages )
Il faut aller chercher dans les autres activités humaines qui s’occupent de l’esprit, autres que psychologie et psychiatrie, ou qui proposent des activités saines. Un travail aimé, un sport, de la lecture, une vie sociale active, se former et ne pas arrêter, etc.
Un point important s’applique aux jeunes qui décrochent scolairement : selon l’humaniste américain Ron Hubbard, dans bien des cas la cause de ce décrochage est due au départ à une mauvaise compréhension des mots rencontrés dans leur étude. Une clarification complète dans un bon dictionnaire, dans une bonne grammaire ou dans le glossaire scientifique adéquat sauve une vie ! Le mal être s’évanouit et l’élève retrouve confiance en lui et en sa capacité à participer à la société en place.