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Les camps de jour se sont adaptés

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11 juillet 2013
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Par Mathieu Ferland
JOLIETTE - 

La mauvaise température qui a sévi durant presque tout le mois de juin dernier n’a pas nuit aux activités des nombreux camps de jours de la région, qui ont tous su s’adapter aux conditions météo de début de saison.

 Les très nombreuses journées de pluie survenues en juin n’ont pas réussi à gâcher les activités des camps de jours de la région, alors que presque toutes les organisations affirment s’en sortir à merveille. « Il y a toujours un plan B », explique Martin Lavoie, directeur des loisirs et des la culture pour la Ville de Joliette. Les fortes pluies de juin n’ont pas affecté le plus populeux camp de jour de la région, qui possède ses installations de base au Cégep de Joliette. La disponibilité de la piscine est la seule ombre au tableau dans leur cas, alors que celle de la Ville et du cégep était toutes deux en rénovations. « Nous avons déplacé les enfants à la piscine du tir à l’arc », explique M. Lavoie.

À Saint-Charles-Borromée, le centre Bosco est en mesure de satisfaire à la demande, peu importe les intempéries extérieures.

Même son de cloche à Rawdon et Berthierville, qui n’ont eu à subir que très peu d’inconvénients. « Nous avons fait face à une petite gymnastique d’horaire, mais aucune activité majeure n’a été annulée », explique Élise Bellerose, directrice des loisirs à Rawdon.

À Notre-Dame-des-Prairies, la situation est plus compliquée à cause d’un problème de local. Les rénovations du gymnase utilisé par le camp de jour combiné à celles du centre communautaire ont forcé les animateurs à faire face à une logistique plus complexe. « Nos animateurs ont fait de petits miracles », explique Mélanie Beauchamp, responsable du camp de jour de NDP.

Les parcs écopent

Les animateurs œuvrant dans les parcs ont quant à eux eu à faire face à plus de difficultés. Martin Lavoie souligne que si les animateurs œuvrant à l’extérieur ont accueilli moins d’enfants qu’à l’ordinaire, il n’y a eu que très peu de journées complètement annulées. « La situation a été plus ardue, mais ça fait partie du travail des animateurs de parcs. »

 

 

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