Les députés Marceau et Villeneuve affirment que le projet de loi 14 est nécessaire pour vivre et travailler en français au Québec

Par communiqué
À la suite de la clôture des auditions publiques sur le projet de loi 14 présenté en décembre dernier par la ministre de l’Immigration et des Communautés culturelles et ministre responsable de la Charte de la langue française, Diane De Courcy, les députés de Berthier, André Villeneuve et de Rousseau, Nicolas Marceau, ont fait valoir l’importance de ce projet de loi pour le Québec.
« Le français est en régression partout au Québec. Le projet de loi 14 s’avère nécessaire pour renverser cette tendance et renforcer l’usage du français dans toutes les sphères d’activité de la société québécoise », a déclaré André Villeneuve.
Depuis l’ouverture des travaux le 12 mars dernier, la commission a entendu 75 des 87 personnes et organisations qui ont déposé un mémoire. Par ailleurs, quelque 4 300 personnes ont participé à la consultation en ligne qui se déroulait dans le site de l’Assemblée nationale depuis le 12 février. Il s’agit d’un record de participation concentré sur une période d’à peine dix semaines.
« Si plusieurs porte-parole d’organisations ont appuyé la démarche du gouvernement pour renforcer le français au travail et dans les services et si d’autres ont posé un regard plus critique sur certaines dispositions du projet de loi 14, dans l’ensemble, tout le monde convient de l’importance de la langue française et du rôle qu’a joué la « loi 101 » depuis 35 ans », a conclu Diane De Courcy à la clôture des travaux de la commission.
« Aujourd’hui, la société doit faire un effort supplémentaire pour renforcer le français au Québec et nous sommes convaincus que dans quelques années, tous reconnaîtrons le bien-fondé du projet de loi 14 », a quant à lui souligné Nicolas Marceau.
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