Malgré le fait que plusieurs joueurs de la Ligue Nationale de Hockey (LNH) aient souffert d’oreillons, au cours des derniers jours, aucune mesure particulière n’a été prise dans les équipes de la région.
Chez les Phénix du Collège Esther-Blondin, le responsable des sports, Benoit Chartier a précisé que les joueurs sont mis en garde concernant les différentes maladies potentielles. « La soigneuse de l’équipe surveille de près toute situation qui pourrait être problématique », a-t-il affirmé.
Du côté du Blizzard de Saint-Gabriel, aucun cas n’a été recensé dans les équipes de la Ligue Senior de la Mauricie. « S’il y un cas, nous prendrons les mesures nécessaires pour nos joueurs », a pour sa part affirmé Pierre-Luc Payette, propriétaire.
Le Journal a été dans l’impossibilité de rejoindre le hockey mineur de Joliette-Crabtree afin d’en savoir plus sur cette question.
En entrevue à l’émission « Le Fanatik », à TVA Sports, le docteur Samer Daher, de la Cité Médicale de Montréal, a expliqué comment cette épidémie avait éclaté dans le hockey professionnel.
« Cette maladie se transmet par contact direct avec des gouttelettes de salives, la respiration et le toucher », a-t-il mentionné. «Lorsque les joueurs se donnent des high-five, la main, etc, on peut transmettre les oreillons », ajoute-t-il.
En date du 17 décembre, une quinzaine de joueurs de la LNH ont été ou étaient atteints des oreillons.
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